C’était une phase de transition, un passage de relais difficile mais nécessaire entre le conseiller physique et l'application bancaire qui allait le remplacer.
Le conseiller, attaché à la confiance bâtie au fil des années, devait défendre son rôle sous peine d'être mis au second plan.
En 2025, où en est-on ? Et si le modèle hybride n'était pas un passage, mais une destination ?
La fin attendue du modèle bancaire traditionnel pour les pros
Longtemps, l’agence bancaire physique a été le passage obligé du professionnel. Pour une demande de financement, la mise en place d’un terminal de paiement ou l'ouverture d’un compte société, l’entrepreneur n’avait d’autre choix que de prendre rendez-vous, patienter, imprimer, signer, renvoyer.
Ce modèle hérité du XXe siècle, aux lourdeurs administratives chroniques, devient frustrant pour toutes les parties prenantes et d'autant plus pour les clients professionnels pour qui le temps est précieux.
Mais chaque année, les lignes bougent. L’essor du numérique et l'arrivée des banques en ligne, puis des néo banques, ajustent les attentes des clients. Disponibilité permanente, signature 100% en ligne, dématérialisation totale, agrégation bancaire...
La promesse est certes tenue par les pure players du digital, mais souvent au prix de nombreux angles morts : absence d'interlocuteur dédié, difficulté à gérer les besoins parfois complexes des clients professionnels, et encore moins à les anticiper.
Or, la logique économique prend toujours le dessus : la digitalisation est optimale lorsque les prestations sont standardisées, et ne laisse que peu de place aux cas particuliers !
Et l'on sait à quel point l'activité d'un professionnel peut être remplie de cas particuliers…
Et s'il existait un juste milieu ?
Le retour du conseiller dans la relation bancaire
Rappelons une évidence : une banque n'est pas un supermarché de services.
Les entrepreneurs d'aujourd'hui n’attendent pas seulement un catalogue de produits bancaires à moindre coût, mais un accompagnement humain agile et stratégique.
C'est d’ailleurs l'une des raisons pour lesquelles le tout-digital peine à séduire : l’absence d’interlocuteur dédié (cité à 42 %) et les difficultés à joindre un interlocuteur (13 %) restent les premiers freins au recours à une banque en ligne. (source : Baromètre Fiducial des TPE 2024).
On a beaucoup évoqué le rôle de la pandémie dans le retour en grâce de la proximité humaine. Mais ce besoin a toujours existé, et existera toujours… Et d’autant plus en période d'inflation, de hausse des taux ou d'incertitudes géopolitiques, facteurs qui exacerbent le besoin de support.
Les entreprises ont besoin d’un partenaire capable de conseiller, de guider, mais aussi d'engager les fonds propres de sa banque (le crédit restant le cœur historique du métier de banquier...).
Cela suppose une connaissance approfondie des métiers : professions libérales, commerçants, artisans, TPE... nourrie par une expérience de terrain au contact des entreprises.
Le modèle hybride comme avenir de la banque professionnelle
Chez FIDUCIAL, le conseiller bancaire n’a jamais disparu. Mais aujourd’hui, il se repositionne sur les domaines où il apporte une réelle valeur ajoutée.
Dans le modèle hybride, le dirigeant dispose d'une interface bancaire complète, accessible 24h/24 sur un site ou sur une application mobile, permettant de gérer les opérations courantes (solde, RIB, Virements SEPA, détails des opérations…) en toute autonomie.
En parallèle, il dispose en agence d’un interlocuteur unique formé à la complexité de la gestion d’entreprise. Disposant d’un pouvoir de décision, le conseiller est capable de proposer une stratégie de financement, un accompagnement à l’international ou une solution face à un impayé bloquant, tout au long de la vie de l'entreprise.
Le banquier d’aujourd’hui n'est ni un distributeur de produits, ni une intelligence artificielle. Il reste ce copilote professionnel, assisté par la technologie mais disponible quand il le faut, car il connaît la trajectoire et les objectifs de chacun de ses clients.
Bien évidemment, pour la banque, cela suppose un investissement réel : en formation, en outils, en organisation. Un modèle exigeant difficilement accessible aux nouveaux entrants dont l'offre reste centrée sur une application.
Pour répondre à cet enjeu, qui de mieux placé que FIDUCIAL, qui accompagne depuis 50 ans les entreprises dans tous les domaines (de la location de bureaux aux fournitures, en passant par l'expertise-comptable et gestion de patrimoine...) ?
Une nette satisfaction sans compromis financier
Le défi reste bien sûr de garantir un niveau homogène de qualité de conseil sur l’ensemble du territoire, malgré les besoins très disparates de nos clients.
Qu'en disent nos clients ?
Avec une note moyenne de 4,7/5 sur le site Avis Vérifiés (pour près de 31 000 avis), les témoignages montrent que FIDUCIAL Banque réussit à trouver cet équilibre, en créant une relation fondée sur la disponibilité et la pertinence de l'accompagnement individualisé.
Et à quel tarif ?
Pour la troisième année consécutive, l’étude comparative de MoneyVox a distingué FIDUCIAL Banque comme la banque la moins chère pour les TPE-PME et les commerçants, avec une facture annuelle inférieure à 180 euros.
Un positionnement-prix d'autant plus pertinent que 46 % des TPE déclarent rencontrer des difficultés financières, selon l’enquête de conjoncture trimestrielle des TPE réalisée par l’IFOP pour Fiducial.
Vous cherchez une banque qui conjugue expertise humaine, efficacité numérique et tarifs maîtrisés ? Découvrez comment FIDUCIAL Banque accompagne chaque jour les professionnels comme vous.
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